A l’heure ou une grande partie du monde de la virtualisation et, se faisant, du stockage associé, est focalisé sur Sans Fransisco et le VMWorld 2013, j’imagine que beaucoup d’entre nous suivent les nombreux blogs des ingénieurs EMC, NetApp, HP et surtout VMWare à la recherche d’infos intéressantes et d’annonces de nouveaux produits/nouvelles fonctionnalités pour nos clouds privés.
Vous connaissez sans doute VirtualGeek, ce blog incontournable d’un ingénieur d’EMC. Un nouveau billet a été posté il y a quelques heures et concerne la révolution du “stockage flash”. Il est particulièrement intéressant car il donne un aperçu, si ce n’est la preuve, des implications de la généralisation du stockage flash au sein de nos systèmes informatiques. Cette débauche d’IOps est à mettre en perspective avec l’avènement des disques durs au milieu des années 70 à des prix “accessibles” pour la plupart des entreprises. A l’époque, le gain en accessibilité et vitesse de transfert entre les stockages magnétiques “souples” et les disques dur (par opposition) était du même ordre : une instantanéité et une capacité de service impressionnante.
Il est clair que les nouvelles sociétés constructeurs de système full flash ou hybride aujourd’hui peuvent envisager des fonctions avancées, impossibles ou très difficiles à implémenter auparavant sur les disques mécaniques classiques. Exemple présenté dans le billet de VirtualGeek, la déduplication temps réel des données envoyées aux baies et tout cela avec des performances “user” quasi constantes, un rêve pour les opérateurs de cloud :)
C’est dans cette optique que je vous conseille fortement de suivre VirtualGeek et lire notamment son billet récent. Le stockage flash : “The Final Frontier” pour reprendre un slogan bien connu ;)